Les tripes vides, l'intestin sec, le cœur qui bat, l'embouchure qui gonfle. Une tempête dans un cerveau. Devant l'homme, assis au bord d'un lit sans motif, une Madeleine qui suce, à genoux. Elle pompe et sa mâchoire lui fait mal, elle travaille depuis un bon moment. Les yeux du mec se dilatent. Madeleine accélère, y met de la rigueur. Elle utilise son doigt, la tête du type s'envole. Il se laisse tomber par derrière, sur le lit. Tout devient doux, sa tête se vide entre des dents. Il fait l'étoile. Tout devient silence, si ce n'est que le son humide de ses lèvres.
La chambre devient noire. La Lumière redevient blanche, tout se distingue de nouveau. La noirceur cache l'essentiel de la pièce fade de ce motel. Lui se laisse faire. Ses yeux se ferment. Son cerveau est calme, et recommence à se remplir lentement. Il aura le temps de respirer après sa nuit de sommeil, d'ici le déjeuner. Pour briser le silence, l'air climatisée recommence à gronder.
les stores verticaux sont d'une laideur charmante. La fenêtre s'est ouverte toute seule, une fenêtre à manivelle. Le vent fait claquer les stores doucement et les voitures et les camions mènent un train d'enfer.
La porte est ouverte derrière son corps tout habillé Il s'est produit un contraste horrifiant:
La lumière tamisée de la chambre silencieuse contre un brouhaha en plein soleil.
"Imagine un désert - Baisse les yeux et regardes rien."
Le corps se mets en mouvement, les jambes avancent et la tête endure.
La tanière s'éloigne derrière et l'espace se remplis de gens. Le refuge est loin maintenant.
Les âmes jouent du coude
les stores verticaux sont d'une laideur charmante. La fenêtre s'est ouverte toute seule, une fenêtre à manivelle. Le vent fait claquer les stores doucement et les voitures et les camions mènent un train d'enfer.
La porte est ouverte derrière son corps tout habillé Il s'est produit un contraste horrifiant:
La lumière tamisée de la chambre silencieuse contre un brouhaha en plein soleil.
"Imagine un désert - Baisse les yeux et regardes rien."
Le corps se mets en mouvement, les jambes avancent et la tête endure.
La tanière s'éloigne derrière et l'espace se remplis de gens. Le refuge est loin maintenant.
Les âmes jouent du coude
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